Le 7 novembre 2025, il a été constaté qu’aucun pays supplémentaire n’avait formellement rejoint l’initiative Global Clean Power Alliance, lancée en novembre 2024 par le Royaume‑Uni et le Brésil. Cette alliance visait à tripler les capacités des énergies renouvelables d’ici 2030 et à renforcer la coopération internationale dans la lutte contre le changement climatique. Un an après son lancement, elle reste portée principalement par ses deux fondateurs, alors que les grandes économies émettrices, comme la Chine, les États‑Unis ou l’Inde, n’y ont pas adhéré. L’absence d’adhésions nouvelles affaiblit le potentiel collectif de l’alliance à mobiliser les investissements et à agir sur les chaînes d’approvisionnement mondiales d’énergies propres. Dans un contexte où les impacts du climat se font déjà ressentir, cette incapacité à élargir le cercle des partenaires remet en question l’efficacité d’une initiative qui se voulait ambitieuse et globale. Un an après son lancement, l’alliance peine à obtenir un large soutien, soulignant les difficultés à fédérer les grandes puissances autour de la transition énergétique.


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