Mme Ardern, Première ministre de la Nouvelle-Zélande, a expliqué que l'apparition ce week-end d'un premier cas de contamination depuis plus de deux mois témoignait du risque que constitue toujours la Covid-19 pour l'archipel, qui jusqu'ici avait éussi à contrôler l’épidémie. Il s'agit d'une Néo-Zélandaise rentrée d'Europe testée positive 10 jours après sa quarantaine de 2 semaines dans un hôtel. Depuis mars 2020, les frontières sont fermées aux voyageurs étrangers. Seuls les Néo-Zélandais sont autorisés à rentrer. « Compte tenu des risques dans le monde et de l'incertitude quant aux campagnes internationales de vaccination, nous pouvons nous attendre à ce que nos frontières soient affectées durant une large partie de l'année ». Ardern a indiqué que le pays autoriserait les déplacements dans le cadre des « bulles de voyage », exemptes de quarantaine, avec l'Australie et les Nations du Pacifique qui ont contenu le coronavirus. L'archipel de 5 millions d'habitants totalise moins de 2 000 cas et 25 décès y ont été imputés à la Covid-19.